Être une partie de la solution
Diversité, compétence et engagement.
Être une partie de la solution
Diversité, compétence et engagement
Relever les défis de demain est l’affaire de tous. C’est à la fois une question de responsabilité individuelle et d’engagement collectif.
Prendre des initiatives et être force de propositions
Nous faisons partie de la solution. Nous agissons positivement et recherchons de nouvelles façons de travailler. Nous avons tous le pouvoir d’assumer ce que nous faisons et ce en quoi nous croyons. Nous faisons partie d’une communauté – celle de Hager Group – composée de différents types de personnes avec des perspectives, des attitudes et des compétences diverses. Nous participons à une œuvre commune chez Hager Group : rendre notre monde meilleur. Nous avons rencontré certains de ces talents impliqués et passionnés.
Du courage et surtout l’envie de relever le défi
C’est avec fierté qu’Aïcha Sostaric et Kitty Duquesne sont montées sur le podium en octobre 2021 à l’issue de la trentième édition du Rallye Aïcha des Gazelles. Une performance signée au volant de leur véhicule entièrement électrique – Bolloré BlueSummer – avec le soutien de la marque Hager.
Prenons la mesure de l’exploit de ces deux sportives en imaginant une carte géographique en papier et une boussole comme seuls repères pour se guider dans le désert marocain. Kitty et Aïcha, comme l’ensemble des participantes, n’avaient d’autre choix que d’adapter en permanence leur stratégie aux difficultés du terrain. Dans ce rallye 100 % féminin, les deux équipières étaient soudées par une même passion, une même envie de se surpasser pour atteindre leur objectif.
Les valeurs humaines et environnementales, incarnées par ce rallye, sont celles que Hager Group et moi-même portons au quotidien.
Une autre vision de la course automobile
Ce rallye est unique en son genre. Depuis 1990, il réunit des femmes de toutes nationalités âgées de 18 à 71 ans. L’objectif n’est pas la vitesse : il s’agit avant tout de relever un défi, de faire preuve de résilience et de courage. Pour Kitty et Aïcha, cette épreuve ne se résume pas à une compétition de deux semaines au milieu des sables. L’expertise et l’excellence, sans oublier le travail d’équipe, la solidarité, l’empathie, la persévérance, le courage et la passion, ont été les ingrédients déterminants pour franchir avec succès les sept étapes de cette course éprouvante.
Ne changez pas vos rêves, changez le monde ! Dans la vie, il faut savoir saisir les opportunités qui transforment les rêves en réalité.
Ensemble, nous sommes invincibles
L’objectif est d’atteindre des points de contrôle en parcourant le moins de kilomètres possible. Des pénalités peuvent être appliquées et viennent pimenter le défi. Même s’il s’agit d’une compétition, l’esprit de solidarité entre les participants prédomine. Ainsi, lorsque l’une des voitures électriques de la course était à court de batterie à quelques centaines de mètres de la ligne d’arrivée, les autres concurrentes ont trouvé tout naturel d’aider collectivement l’équipage à boucler son parcours.
Un rallye dans le désert est une véritable épreuve physique, autant qu’une course en solitaire en mer. Le circuit de 1 000 km traverse le Maroc du nord au sud, avant de se terminer à Essaouira, au bord de l’océan Atlantique. Comme l’on pouvait s’y attendre, Aïcha et Kitty ont dû composer avec quelques difficultés et opéré plusieurs ajustements en cours de route. Sans compter la chaleur écrasante qui règne dans le désert marocain et met à mal les organismes mais aussi les systèmes électriques de la voiture. Pour nos deux championnes, un seul mot d’ordre : adapter constamment la stratégie de conduite du véhicule. Mais elles sont allées au bout avec panache, décrochant la troisième marche du podium. Lorsqu’on leur demande de nous faire vivre leur expérience, elles la résument de belle façon : « Au départ, nous ne connaissions personne, mais dès le début, l’entraide et la solidarité se sont imposées comme des évidences ! Nous avons vécu une aventure incroyable. Nous espérons qu’elle pourra inspirer d’autres personnes et les encourager à vivre leurs rêves ».
Rallye Aïcha des Gazelles
Cette participation au rallye a permis à Kitty et Aïcha de récolter des fonds au profit de l’association caritative Les Blouses Roses, qui soutient les enfants hospitalisés et les personnes âgées dans toute la France.
Dans le sillage de Kitty et Aïcha, d’autres femmes montrent l’exemple.
Pour Valérie Kaufenstein et Hannelore Kolb, un seul objectif : obtenir de meilleurs résultats.
Tout a commencé à Paris il y a quelques années, lors d’un hackathon. Chargée de promouvoir l’image de marque de l’entreprise sur le marché français, Valérie Kaufenstein a découvert sa vocation. Cet événement de 24 heures, organisé par Hager France, a réuni des programmeurs et d’autres experts pour améliorer ou inventer de nouveaux logiciels. Un rendez-vous spécialement conçu pour permettre aux spécialistes de KNX (une norme ouverte pour l’automatisation des bâtiments) de découvrir de nouveaux produits. L’idée du hackathon, c’était aussi de présenter les produits Hager aux intégrateurs de systèmes.
Un partenariat judicieux
Valérie Kaufenstein a pu constater l’immense intérêt suscité par un tel projet dans le monde du protocole de communication KNX et a immédiatement pris la mesure de son potentiel. Elle savait l’importance de reproduire ce même modèle pour mettre en avant les produits Hager.
Elle a ensuite organisé sept événements complémentaires appelés « Shake my KNX » (« Fais bouger mon KNX ») dans différentes régions commerciales de France. Au terme de plusieurs sessions de mind-mapping sur la meilleure façon d’organiser les hackathons, elle s’est judicieusement associée à un spécialiste interne, dont les contributions ont donné une nouvelle dimension à l’événement. Ensemble, ils ont mis en place toute une équipe. « Il était important que la participation soit basée sur le volontariat, explique-t-elle, car nous avions besoin d’enthousiasme et de motivation dès le départ si nous voulions vraiment réussir ». À la fin de la tournée de sept dates, elle s’est mise à refuser des volontaires. « Nous devons notre succès collectif à un excellent travail d’équipe et à la confiance partagée, et en particulier à l’engagement, à l’énergie et à la passion des bénévoles ».
« J’aime l’idée de faciliter les choses, d’aider les équipes à comprendre comment elles peuvent aller d’un point A à un point B. Le but n’est pas de faire à leur place : je les aide simplement à trouver leurs propres ressources intérieures pour y parvenir ». Et lorsque les ressources humaines recherchaient un profil créatif et pédagogue, Valérie Kaufenstein a saisi l’occasion.
La responsabilisation individuelle et collective
Valérie Kaufenstein est aussi pleinement convaincue que l’on apprend en faisant. Pendant son temps libre, elle a co-construit une communauté appelée Les Facilitateurs d’Alsace. Elle réunit des managers, des entrepreneurs, des dirigeants de start-up, des coachs... Ils se rencontrent, partagent leurs expériences et expérimentent de nouvelles méthodes ensemble. Ils croient également en la force de l’intelligence collective. Pour ces acteurs du changement, explorer de nouvelles façons d’échanger et ainsi faire bouger les lignes dans leurs entreprises, leurs associations et leur vie quotidienne est au cœur de leur motivation.
Cette communauté qu’elle a créée est aussi l’occasion de diriger et d’animer la « communauté Agile » de Hager Group, un autre réseau d’experts qui promeut de nouvelles méthodes de travail, conseille et encourage les équipes à trouver des solutions en décloisonnant les activités et en construisant des ponts entre les métiers. En un mot, mieux travailler ensemble. Son dernier projet, Hi!, a pour objectif de créer des expériences d’apprentissage dans le cadre de l’université Hager Group. En véritable spécialiste, elle contribue à mettre en œuvre de nouveaux modèles d’apprentissage.
Traditionnellement, les sessions d’apprentissage se déroulent dans une salle de classe, mais comme l’explique Valérie Kaufenstein, « il peut aussi s’agir d’apprendre des autres, que ce soit de votre responsable, de vos collègues ou lors de conférences, ensemble au sein d’une communauté en faisant ses propres expériences, en apprenant, en faisant, en enrichissant son savoir à partir de ses erreurs, en bénéficiant d’environnements d’apprentissage associant virtuel et présentiel, ou encore en lisant des articles et des livres. Mon travail consiste à rassembler toutes ces méthodes sous une même bannière chez Hager Group et à garder à l’esprit que tout le monde n’apprend pas de la même manière. »
Offrir la meilleure expérience d’apprentissage possible, un vrai défi
Encourager un apprentissage efficace et ciblé est un véritable défi pour les entreprises. Valérie Kaufenstein insiste sur l’importance de définir des objectifs clairs, d’identifier précisément ce que nous devons savoir et pourquoi, mais aussi de diviser un enseignement en plusieurs petits modules plus faciles à appréhender. « Si nous recevons trop d’informations, cela ne sert à rien. Nous devons pouvoir les transformer et les utiliser. Les apprentis doivent aussi apprendre à s’auto-évaluer. L’éducation passive, c’est ce qui se passe à l’école, où on me dit ce que je dois apprendre. Lorsque je décide moi-même, c’est plus puissant et plus utile. J’ai le contrôle de ce que j’apprends et je sais pourquoi je le fais ».
Valérie Kaufenstein s’attache à montrer que le partage des connaissances prime sur la concurrence. La singularité de chacun est synonyme d’enrichissement collectif. Nous grandissons, apprenons et partageons ensemble.
Hi!, l’université de Hager Group
Hager University, ou Hi! comme on l’appelle officiellement, est le moteur de notre culture et du développement continu de nos collaborateurs. Hannelore Kolb, Learning Program Manager, résume le projet en ces termes : « Hi! offre à chacun des possibilités de formation et d’épanouissement : des académies, des cours en ligne et des communautés apprenantes. » Lorsque des entreprises veulent se développer, elles doivent s’adapter et faire évoluer leurs objectifs d’apprentissage à leur échelle en cultivant le potentiel intellectuel de chaque collaborateur. Parmi l’offre déployée par Hi! figurent l’apprentissage du leadership, la gestion de projets, le développement des compétences linguistiques et l’obtention de certifications officielles. Hi! regroupe tous les programmes de formation existants, ce qui permet aux collaborateurs d’acquérir plus facilement les connaissances dont ils ont besoin pour leur travail et leur développement personnel. Hi! stimule les ambitions, les initiatives et l’esprit d’entreprendre.
Qu’est-ce qui rend Hi!, l’université de Hager Group, si utile pour tout le monde ?
Pour inventer le monde électrique de demain, chaque collaborateur doit disposer des compétences essentielles : c’est une force. Avec Hi!, le développement permanent des compétences se traduit par un accès en ligne 24 h/24. L’apprentissage sur le long terme est un objectif partagé par tous et sans recherche de nouveauté nous ne pouvons nous développer.
Lorsque je décide par moi-même j’ai le contrôle de ce que j’apprends et je sais pourquoi je le fais.
Qu’est-ce qui vous motive dans le projet Hi! ?
Proposer une pédagogie pertinente, apporter aux équipes les ressources pour les marchés : voilà ce qui me motive. Je peux appréhender les métiers du groupe et leurs fonctions.
Je suis particulièrement fière d’avoir conçu des cours spécifiques et adaptés aux besoins de chaque métier. Il ne s’agit pas d’une formation standard. C’est un vrai défi pour moi de déployer une offre en lien avec les attentes de l’entreprise. Je développe mes connaissances par l’action et la création de nouveaux modules.
Comment savez-vous si ce que vous proposez est pertinent et efficace ?
Les programmes de formation sont validés en amont par un groupe pilote. Nous organisons une session expérimentale, recueillons les réactions des managers et des participants, puis adaptons la formation à leur gré. C’est une démarche de progrès que nous évaluons à l’aide d’indicateurs clés de performance.
Fondation Peter und Luise Hager : donner en retour
L’éducation, l’apprentissage par la pratique et le soutien inclusif constituent les objectifs prioritaires de la Fondation Peter und Luise Hager.
En tant qu’entreprise familiale il est dans la culture de Hager Group d’agir de façon durable et de donner en retour. Nous sommes responsables de nos employés et de leurs familles ainsi que de la protection de l’environnement. Cet engagement est mis en pratique par la Fondation Peter und Luise Hager, créée en décembre 2010. Présidée par Evi Hager, elle soutient environ 40 projets. « La Fondation nous a montré à quel point nos propres vies s’enrichissent lorsque nous réalisons quelque chose pour les autres », souligne Evie Hager. « Nous sommes extrêmement fiers de son succès et de l’aide que nous avons pu apporter ». La Fondation soutient des projets dans les domaines de la science et de la recherche, de la protection de l’environnement, de la culture, du développement de l’enfant, de l’éducation et de l’aide sociale.
Kamila Banasiak dirige le bureau de la Fondation et constitue l’interlocutrice des différents partenaires dans le monde. Lorsqu’on lui demande ce qui l’a incitée à travailler pour la Fondation, elle répond : « Je trouve cela fascinant et enrichissant car je rencontre tellement de personnes différentes de tous les horizons, des arts et de la culture aux défenseurs de l’environnement et aux travailleurs sociaux. Ce qu’ils ont en commun, c’est leur engagement à rendre le monde meilleur et à donner aux autres les moyens de s’aider eux-mêmes. C’est notamment le cas des fondateurs du projet BlueFuture en Tanzanie. C’est très enrichissant de participer à un tel projet qui donne du sens à notre action ».
Parmi tous ces projets soutenus, retenons deux exemples liés à la protection de l’environnement, à la valorisation des compétences, à l’éducation et au développement local.
Un projet d’eau potable durable en Tanzanie
Projet BlueFuture, Sarrebruck (Allemagne)
Les fondateurs du projet BlueFuture, Tibor Sprick et Christoph Dillenburger, créent un accès durable à l’eau potable au profit des communautés tanzaniennes. Ils travaillent en lien avec les populations locales pour imaginer avec elles des solutions à la crise de l’eau.
Le docteur Askwar Hilonga est un ingénieur chimiste reconnu de Tanzanie qui a grandi dans un petit village rural sans aucun accès à l’eau potable. Face aux ravages des maladies liées à une mauvaise qualité de l’eau, il a décidé d’agir. Il a ainsi créé un système de filtration de l’eau innovant et peu coûteux que l’on appelle un nano filtre capable de traiter les différents polluants qui affectent les sources d’eau de Tanzanie.
Tout un écosystème autour du projet BlueFuture
Les porteurs du projet BlueFuture équipent les villages ruraux de Tanzanie du nano filtre et d’une station de traitement de l’eau. Ce programme génère toute une activité économique : des entreprises, des emplois et la garantie d’un approvisionnement en eau potable. Le Dr. Hilonga et son équipe assurent la maintenance du dispositif de traitement de l’eau. De son côté, la communauté locale prend en charge l’activité d’approvisionnement en eau durable en toute autonomie.
Grâce au soutien de la Fondation Peter und Luise Hager, huit stations de traitement de l’eau ont été construites en 2020 et quatre au cours de l’année 2021. Au total, plus de 100 unités de ce type ont déjà été installées en Tanzanie depuis le début du projet et 500 autres sont prévues pour les cinq prochaines années.
Les nanofiltres
sont peu coûteux et peuvent être adaptés aux spécificités locales de la contamination de l’eau
Des stations d’épuration
deviennent des entreprises, elles créent à la fois des emplois et des opportunités pour les populations locales
500
projets prévus pour les 5 prochaines années
100
stations d’épuration construites
Projet Afrique mené par le Docteur Schales au Zimbabwe
Association de soutien du projet africain du Dr. Schales
Depuis début 2020, la Fondation Peter und Luise Hager soutient le projet Afrique du Dr. Schales, au Zimbabwe, dont le but est de promouvoir à la fois la santé et l’éducation des communautés locales. Le Dr. Hans Schales, ancien médecin en chef à la Caritas Klinikum Saarbrücken St. Josef Dudweiler (Sarre, Allemagne), travaille au Zimbabwe depuis 2001. Sa mission et son engagement au Zimbabwe s’inscrivent dans la droite ligne du credo de Nelson Mandela : « L’éducation et la santé sont les armes les plus puissantes contre la pauvreté ».
Avec l’appui du projet Afrique, l’hôpital Saint Luke de Lupane a été agrandi et le personnel médical a été formé pour répondre aux besoins de la communauté locale. La fourniture d’équipements médicaux et de médicaments supplémentaires fait également partie du soutien apporté à cet hôpital qui soigne un grand nombre de personnes parmi les plus défavorisées de la région du Matabeleland septentrional. Il constitue une aide précieuse pour les populations locales et les quelques 3000 enfants qui y naissent ont accès à des soins médicaux. L’hôpital compte 250 lits.
Le projet éducatif concerne principalement les élèves de la zone desservie par l’hôpital de Saint Luke. 600 écoliers bénéficient d’un enseignement grâce au développement des infrastructures scolaires. La région compte aujourd’hui 15 écoles. Les fonds fournis par la Fondation contribuent notamment aux frais de scolarité, aux équipements, aux repas sur place et, si nécessaire, aux soins médicaux.
600
élèves ont désormais accès à l’enseignement scolaire grâce à une infrastructure élargie
Grâce à son extension, l’hôpital Saint Luke de Lupane compte
250 lits
15
écoles désormais dans la région